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Un réveil agréable et motivant... Vendredi matin, Lisbonne était déjà en ébullition quant à l'idée de fêter la veille de la Toussaint, Halloween. Dans le métro, les premiers signes de ce qui allait être une folle journée étaient apparents et plusieurs personnes étrennaient, pour l'occasion, des accoutrements vraiment stylés.

A Teleperformance aussi, quelques rares frissons s'emparaient des couloirs depuis le début de journée. Du côté de notre projet, seules Sandy et Claire avaient joué le jeu et semblaient en mesure d'assumer une tenue haute en couleurs.

Elles sont là les Halloween girls
Elles sont là les Halloween girls

Au retour de la première pause, et connaissant notre extrême capacité à tout faire pour la contrarier, Isabelle nous lançait un petit défi comme elle l'aurait fait avec une classe de 6ème: "Le prochain qui sort de la salle pour aller au toilette, il doit se mettre du gloss rouge ou noir".

Ni une, ni deux, Aurélien et moi avions décidé d'aller y faire un tour. Si notre idée de départ, tenue secrète du reste du groupe, était de se servir du gloss pour rejoindre Sandy et Claire au maigre rayon des personnes déguisées pour halloween, on s'est très vite rendu compte avec le matériel à disposition que ce serait mission impossible.

Finalement, nous nous sommes résignés à l'idée de nous en étaler sur les lèvres. Lui le noir, moi le rouge. Et, comme dans un bon thriller, c'est à ce moment là qu'un autre homme décidait d'entrer faire ses besoins. Entre fous rires et gênes, on ne savait plus trop où se mettre. Et pour ne pas arranger les choses, un 4ème larron entrait à son tour.

Un remake de American Pie ?
Un remake de American Pie ?

A notre retour en salle, Isabelle nous octroya une pause "maquillage". Comme Aurélien et Cédric avaient acheté de quoi faire, quelques-uns acceptèrent de jouer le jeu. C'est ainsi que je me suis retrouvé avec les cheveux bombés de vert et une tête traduisant un semblant de "Joker".

Durant la pause déjeuner (de 16 à 17h), Vick alla enfiler son terrifiant costume de zèbre. Il faut croire qu'à Reims, les traditions ne sont pas les mêmes. Il ne restait alors plus que 4h avant que ne sonne le début du weekend et il était enfin temps d'aller arpenter les rues du centre ville, et précisément celles du quartier Bairo Alto, le lien incontournable des nuits lisboètes.

Comme de coutûme, le grand groupe que nous formions s'est morcelé au fur et à mesure que la nuit passait. Quand nous sommes enfin arrivé au Hawaï Club, à 5h30, il ne restait plus que Claire, Célia, Arnaud et moi. Peut-être aurait-il été préférable de rester en ville puisque le videur nous refusa l'entrée prétextant que la boite fermait à 6h. J'ai pourtant essayé de négocier pour 5 petites minutes de dance mais il était juste temps de rentrer.

Le zèbre et le Joker, duo ultime
Le zèbre et le Joker, duo ultime

Après un court dodo, j'ai passé la journée de samedi à me reposer. Le weekend prochain sera une autre histoire. Des soirées il y aura, mais également quelques visites de la capitale portugaise. En attendant, samedi soir, c'est à domicile que ça se passait.

Le vrai réveil fut brutal. Durant l'après-midi, j'avais proposé à certains de venir passer le début de soirée à l'appart. C'est sur le tard, comme à leur habitude, qu'ils ont trouvé la motivation à bouger leur popotin. En même temps, j'avais promis à ceux qui viendraient un accueil royal.

Il a donc fallu s'activer, faire les courses et préparer l'appart avant que l'ouragan n'arrive. Et tempête il y a bien eu lieu. Après un début de soirée au calme, le salon s'est peu à peu transformé en dancefloor. Seul un voisin n'eut pas réussi à se mettre dans l'ambiance et nous demanda de faire moins de bruit.

Merci à tous !
Merci à tous !

Vers 00h50, Lucie, collègue de ma colocataire Paola pour Bouygues mais aussi ma soeur jumelle vu l'écartement de ses dents, décida de partir prendre le dernier métro. J'ai tenté de l'en dissuader sachant qu'il passait vers 1h du matin. Mais la Lyonnaise est têtu. Elle me lança alors un pari audacieux: "Si je rate le métro, je t'offre une bouteille". C'est la correspondance qu'elle a raté mais la sanction reste la même...

Pour le reste du groupe, la soirée se termina au club lesbien le Ponto G (facile de traduction). A notre arrivée, la serveuse nous demanda d'où venions-nous et nous remercia d'avoir lancé l'ambiance qui met, de ses propres aveux, généralement du temps à démarrer. Mais ce soir là, c'était parfait.

Dimanche fut une nouvelle fois dédié au repos. Mais promis, la semaine prochaine je pars en mission découverte. Surtout qu'avec les mauvaises nouvelles tombées cette semaine, il faudra en profiter au maximum !

Une partie de l'équipe au Ponto G

Une partie de l'équipe au Ponto G

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