Un weekend de fada

Un démarrage tambour battant

Avec des journées de formation s'étalant de 12h à 21h, il n'y avait pas de temps à perdre vendredi pour rentrer pleinement dans le weekend. Seul un petit détour par l'appart était autorisé. Après tout, il nous fallait bien un jeu de cartes pour animer le début de soirée.

Ah oui, j'allais oublier l'escale au supermarché du coin histoire de s'approvisionner. Fidèle à mon breuvage favori, j'en suis ressorti avec du whisky et du coca. Arnaud et Erwin ont préféré tenter le pari d'une bouteille de vodka caramel bon marché. Perdu...

A 21h45, nous sommes déjà au lieu de rendez-vous, à Alameda.Les autres, eux, nous rejoindront seulement vers 23h. C'est donc à trois que nous entamons les festivités sur une place propice à l'apéro. A l'arrivée du reste du groupe, les choses s'accélèrent avec le 2eme Rouge ou Noir de Lisbonne.

Sandy et Erwin, je peux vous assurer que je n'ai procédé à aucun trucage lors de la distribution. Seul le méchant hasard a souhaité vous apporter que des cartes rouges. En tout cas, de ce que je me rappelle, je n'ai pas triché... Mais les souvenirs sont vagues.

Alameda, lieu propice aux apéros

A qui perd gagne...

Lieu incontournable des soirées lisboètes, Baixa Chiado est notre prochaine étape. On se dirige alors vers l'un des derniers métros. Petites photos souvenirs au passage, dernières gorgées avalées, on rejoint là-bas une autre grosse partie de notre formation.

Et là, c'est le drame... Après quelques tours dans des bars, probablement stylés, je finis par perdre de vue tout le reste de l'équipage. Ma tête et mon corps commencent alors à tanguer sévèrement.

Déjà disparu

Après avoir erré dans quelques rues, j'ai sympathisé avec un Allemand, un Portugais et une Brésilienne.La nuit, je l'ai terminé en boite avec eux à danser jusqu'à 7h du matin.

Un peu plus tard même, après avoir pris connaissance en sortant que j'avais 4 tickets conso dans la poche. Une fois les dernières énergies laissées sur la piste de danse, il était définitivement temps de rentrer à la maison.

Si les métros circulaient déjà, de si bonne heure, je ne savais pas où je me trouvais. Finalement, mon corps est monté dans le 1er taxi venu, et mon esprit s'est lui endormi à l'intérieur, sur le siège passager avant. Arrivé devant chez moi, le taxi driver me réveilla et je n'avais plus qu'à régler la petite note de 8 euros avant d'aller me recoucher et me reposer pour la nuit suivante.

Mes sauveurs

On remet ça ?

La journée de samedi avait pourtant de quoi faire peur. Via facebook, personne ne se montrait trop motivé quant à l'idée de ressortir mis à part Vick et Erwin. Ils sont là les bons éléments ! Heureusement, en fin de journée, ils n'étaient plus les seuls. Presque tout le monde semblait avoir récupéré, prêt à repartir au combat.

Pour lancer les hostilités, Jean nous accueillit dans son nid. Teleperformance étant une grande famille, nous avons eu la possibilité de faire une brève connaissance avec des collègues bossant pour le client Asos.

Par contre, à force de papoter et de retarder l'heure de départ, on a bien failli rater le dernier métro. Mais grâce à une course digne d'un coureur de 5 000 m de haut niveau (ressenti comme tel en tout cas), on l'a eu. Vick aussi malgré sa chute.

Plus de peur que de mal pour Vick, bien présente parmi nous

Baixa Chiado, nous revoilà. Après avoir une nouvelle fois retrouvé d'autres membres de notre formation, nous sommes retournés dans un bar cubain connu la veille. Ok, j'avoue, c'est ce qu'on m'a dit. Pour moi, ça ressemblait à une première.

Encore une fois, nous ne serons pas repartis avant que le soleil ne se lève. Mais si le bougre ne s'est pas fait attendre longtemps, le métro commençait lui à abuser de ma patience. Pas rancunier pour un sou, je me suis vite réconcilié avec lui, au point de m'endormir deux fois dedans et de rater mon arrêt à chaque fois.

Si le temps de trajet a donc été bien rallongé par ces changements de rames à répétition, le prix est lui resté le même. Sinon, j'en aurais presque regretté mon retour en taxi de la matinée précédente.

Apparemment, on était bien au bar cubain vendredi

Du repos, enfin !

Le dimanche fut en revanche bien plus reposant. Un excellent verre de jus de pêche et quelques visionnages de sketchs avec Victoria plus tard, on était prêt pour la seconde semaine de formation. Et il le faut. Mercredi, le 1er des 3 tests se dresse sur notre route. L'objectif ? 80 % de bonnes réponses. Sinon ? On ne sait pas trop vraiment. Bonne chance à tous, réponse dans quelques heures seulement.

En attendant, il n'y a quand même pas de quoi être choqué... Hein Victoria ?